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 Les délires d'un écrivain raté

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MessageSujet: Les délires d'un écrivain raté   Les délires d'un écrivain raté Icon_minitimeDim 27 Mar - 20:39

Tous ces écrits ne viennent pas de moi. Elles viennent d'un ancien membre du forum, j'ai nommé Ookamiko. Merci de prendre en compte que ce sont ses écrits et non les miens. Bonne lecture.

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Il faisait nuit. Rien ne dérangeait le silence de la forêt à part les quelques habitants qui vaquaient à leurs occupations nocturnes. Pourtant une chose ne devait pas se trouver là. Un homme, dans la trentaine d'année marchait à travers les arbres, une épée couverte de sang à la main. Les cheveux d'un noir de suie, le visage pâle et des yeux noisettes qui laissaient transparaître son sadisme, formaient un ensemble inquiètant dans ce cadre nocturne.
Il ne présageait absolument rien. Il ne faisait que marcher pour retrouver son quotidien, sa maison, ou tout simplement pour aller dormir. Mais ce qu'il ne savait pas, c'est qu'un crime ne reste pas impunis. Et encore moins en ce lieux.
Le loup observe. Cela devait maintenant faire une bonne heure que le loup le suivait silencieusement. Une heure, c'est le temps qu'il s'était écoulé depuis l'instant fatidique. Il connaissait la forêt par coeur et savait que d'ici une trentaine de minutes, l'homme allait déboucher sur une clairière. Il continuera à la suivre jusque là et ne se dévoilera pas avant. Bien que la rage lui commandait de lui sauter à la gorge ici et maintenant, le loup conservait sa patience légendaire et préférait mener sa proie jusqu'à sa propre tombe.
Ce fut donc au bout d'une demi heure de chasse silencieuse que l'homme et le loup débouchèrent sur la fameuse clairière. Ayant été le plus rapide, l'animal attendait sa proie au centre de celle-ci.
L'homme le remarqua aussitôt, s'avança dans la clairière d'un pas sûr et s'arrêta à une distance respectable du loup. Il ne laissait transparaitre aucune crainte.
-Je savais que tu allais venir. Cela fait longtemps que tu m'attends comme ça?
-Je ne t'ai pas attendu. Je t'ai suivit tout du long. Depuis le lieu de ton méfait.
-Pourquoi ne pas avoir chercher à me tuer plus tôt? La forêt était ta seule alliée. Maintenant que tu es en terrain découvert, tu ne peux rien contre moi.
Le loup au pelage argent savait pertinement que l'homme disait vrai. Dans l'état actuel des choses, il lui eu été impossible de le vaincre. Jusqu'alors assis, il se mit sur ses pattes et regarda celui qu'il désirait tuer.
-Tu as parfaitement raison. En ce moment, je ne peux rien contre toi.
-Et tu ne pourras plus jamais rien car je ne te laisserais pas t'enfuir une nouvelle fois.
Aussitôt les mots prononcés, l'homme se jeta sur le loup, épée en position d'attaque. C'était une attaque excessivement rapide. Même l'animal ne pouvait l'éviter s'il le désirait. Pourtant, il ne bougea pas. Il resta là à regarder cet homme foncer sur lui et ne prononça qu'un seul mot:
-Kuro.
Ca ne dura qu'une fraction de seconde durant lequel le loup se métamorphosa, reprenant forme humaine. Le jeune homme d'une vingtaine d'année, les yeux d'un ambre pur, le cheveux argents coulant sur ses épaules, tenait dans sa main droite un katana et dans sa main gauche un wakizashi. Il regarda son adversaire quelques centième de seconde et bloqua l'attaque comme-ci elle n'avait été qu'une simple formalité.
L'homme, surpris par se revirement de situation et ayant vu quelque chose qu'il ne se doutait, fit vite un saut en arrière pour se remettre à bonne distance du jeune homme. Il le jugea quelque seconde, histoire d'évaluer ses chances de victoires, puis s'adressa à son nouvel opposant.
-Mais, ce n'est pas possible. Tu n'es qu'un loup.
-Je ne suis pas qu'un loup comme tu le dis. Autrefois, je servais les seigneurs tengus sous ma forme humaine.
L'homme n'en croyait pas ses oreilles alors que le loup continuait son récit.
-Je possédais une telle puissance que ceux-ci décidèrent de scinder mon âme en deux parties. Puis je fut charger de garder leur temple où j'appris la transformation lupine. Ce même temple que tu as visité deux heure plutôt.
-Mais les seigneurs tengus sont des messagers du vents... comment diable leur temple peut-il se retrouver sous terre?.
-Ce fut moi qui provoqua le cataclysme qui enseveli leur temple, alors que je cherchais à reformer mon âme.
Ayant eu tout le loisir d'observer le jeune homme, le malfaiteur se sentait rassuré. En effet, il ne décelait plus la pression que le loup lui inspirait jusque là. Esquissant un sourir face à tent de facilité, il se mit à lancer:
-Je n'en ai que faire de tes sotises. Tu reste le sale loup qui n'a put protéger sa maitresse, et je vais te le prouver maintenant.
Alors que l'homme s'élançait dans une nouvelle attaque, le jeune homme baisa le regard tout en levant ses lames. Tout en reposant son regard sur l'imprudent qu'il avait en face de lui, il adressa calmement ces quelques mots :
-Tu as fait deux erreurs.
"Tsukimi" (Contemplation du clair de lune)
D'un geste souple et rapide, le loup découpa l'air de ses lames. La rapidité était tel que le vent lui-même devint une arme qui fonçait vers son adversaire. Alors qu'il n'avait pas parcouru la moitier de la distance qui les séparés, l'homme eu les bras tranché sans même comprendre ce qu'il se passait.
-Celle qui te fit croire que j'étais pareil sous forme lupine que sous forme humaine.
"Gekkou" (Clair de lune)
Le coup fut si rapide que l'homme n'apperçu qu'un rayon argenté se dirigeant droit vers lui. Une demi seconde plus tard, il se trouvé au sol, les jambes reposant à quelque pas de lui.
-Mais celle que tu n'aurais pas du faire.
"Mangetsu" (Pleine lune)
Les deux sabres décrirent un cercle parfait qui frappa l'homme au niveau du torax. Ayant utilisé le plat de la lame, il ne fut qu'envoyé en l'air.
-Fut de tuer mes maitresses.
"Gesshoku" (Eclipse de lune)
Rien ne se passa. Tout se qu'on put constater, fut le silence et la position du loup qui était différente de l'instant précédant. Le corps du meurtrier tomba sur le sol avec un bruit mat, le visage tordu dans un signe de souffrance total. Le loup rangaina alors ses sabres et, comme s'il venait d'enclencher un mécanisme, le reste du corps de sa victime se déchira en mille morceaux. Dans un dernier souffle, la tête laissa échaper un cri qui déchirait la nuit. Tout ce qui resta après fut une tâche sombre sur l'herbe.
-Je vous aie venger dame Koishi. Que votre âme repose en paix maintenant.
Fin"


Dernière édition par donfeuxvideo le Lun 27 Juin - 22:36, édité 2 fois
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MessageSujet: Désespoir   Les délires d'un écrivain raté Icon_minitimeDim 27 Mar - 21:01

Au centre d'une pièce noire se trouve un homme qui vient de perdre ce qui lui était le plus précieux. Recroquevillé sur lui même en position foetale, il laissait peu à peu la folie s'emparait de la seule chose qui lui restait : sa conscience.
-Pourquoi a-t-il fallut que je ne sois pas là?
Ce corps frêle et sans âme ne pouvait arrêter le flot inscéssant de ses pensées.
-POURQUOI A-T-IL FALLUT QUE JE VOUS LAISSE SEULS?
Quelque minute plus tôt dans la soirée, comme tout les jours à cette heure, il rentrait tranquillement chez lui en se demandant ce qui l'attendrai. Poussant la porte, il cria dans la demeure :
-Papa est rentré.
Mais seule le silence lui répondit. Ce silence qui annonce que quelque chose vient juste de se produire. Ce silence qui n'est pas qu'un simple manque de bruits jusqu'alors habituels mais un silence que l'on ressent au plus profond de son être. Celui qui vous ronge de l'intérieur, qui vous bloque dans vos actions, qui vous empêche de penser. Et c'est ce silence qui amena l'homme a rentré dans cette pièce.

Au centre d'une pièce noire, se trouve un homme qui vient de perdre ce qui lui était le plus précieux. Recroquevillé sur lui-même en position foetale, il laissait peu à peu la folie s'emparait de la seule chose qui lui restait : sa conscience. Les yeux fixant trois masses en face de lui. Les corps inertes de ses enfants et de sa femme adorée.
-POURQUOI A-T-IL FALLUT QUE JE VOUS LAISSE SEULS?


Dernière édition par Ookamiko le Sam 28 Mai - 11:06, édité 1 fois
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MessageSujet: Une nuit sous la lune   Les délires d'un écrivain raté Icon_minitimeJeu 31 Mar - 14:29


La nuit suivait tranquillement son cours dans ce cadre paisible. Je recherchais calmement et sereinement la sortie de la forêt. Pour moi, cela devait faire deux heures que je chaissais maintenant et pourtant, nous sommes en plein milieu de la nuit alors que je m'élançais dans cette forêt au début de l'après-midi. Je devais avoir perdu la notion du temps tellement j'étais concentré dans ma tâche. Enfin, le temps ne m'inquiétait pas le moins du monde. C'était même le dernier de mes soucis.
C'est donc fort de mon exploit, la carcasse de plusieurs lapins à la main, que je rentrais tranquillement chez moi pour me reposer. Bien qu'endurant de nature, partir toute une journée en chasse m'avait litérallement vidé de toutes mes forces et je n'aspirais maintenant qu'à un repos bien mérité. J'étais tellement fier de moi que je me surpris à parler tout seul :

-Ce sont les enfant qui vont être content. Keine m'avait bien dit qu'ils avaient envie de manger du lapin... Je me demande ce que Tewi et Reisen pourront penser de tout cela?

Alors que j'aprochais de la lisière de la forêt, je cru percevoir un mouvement à l'extérieur de l'enceinte sylvestre. Plus par instinct que par crainte, je posais rapidement mes trouvailles dans un coin et je me dirigeais silencieusement vers l'orée de la forêt pour appercevoir l'origine de ce geste. Je n'avais donc pas rêvé, il y avait bien quelqu'un ici. A cette heure, je me demandais qui cela pouvait être.
Toujours à couvert dans la forêt, je m'approchais de plus en plus pour mieux discerné l'individu que les arbres et les branches en tout genre m'empêcher de voir. Quel fut ma stupeur quand je vis qui était là.
Dos à la forêt, kimono rouge sombre aux fleurs noires, les cheveux tombant jusqu'au milieu de son dos dans un flot noir parfait, la peau pâle comme les premières neiges de décembre. Uliel Chifude-sama?! Mais qu'est-ce que vous venez faire ici à cette heure?! Ne me dites pas que...
Je m'adossais rapidement à l'arbre le plus proche. A cette vue, mon sang n'avait fait qu'un tour. La seule question qui me brulait la conscience fut : Pourquoi?. Toujours adossé à mon arbre, la vue se troublant de plus en plus sous l'effet de l'émotion, je ne pouvais arrêté le flot inscessant de mes pensées qui m'envoyait de plus en plus de scénarios.
Calme-toi. Evalue chaque possibilités, chaque once de solution, chaque petites parcelles de... mais qu'est-ce que je raconte moi? Je me cache là derrière un arbre tout simplement parce que j'ai vu Uliel-sama ici, à cette heure? Qu'est-ce qui va pas chez moi? Elle a certainement voulu se promener sous cette belle nuit, prendre l'air, regarder les étoiles et puis repartir dormir voilà tout. Pourquoi fallait-il que je me sente autant agité à sa vue?
Il me fallut cependant quelques secondes avant de retrouver mon calme. C'était clair : j'allais récupérer mes lapins, je sortirais de cette forêt, passerais un bonjour à Uliel-sama si elle se trouvait encore dans les parages et me dirigerais vers mon petit chez moi. Il n'y avait aucune raison de penser qu'une telle dame se lève en plein milieu de la nuit pour attendre quelqu'un comme moi.
Bien que ces quelques pensées me déprimèrent un peu, je me levais tranquillement avec la ferme intention de suivre cette opération. J'avais à peine fait un pas vers la cachette que j'avais utilisé pour mes trophées que j'entendit quelque chose qu'il aurait mieux vallut que je n'entende pas. Quelque chose qui brisa absolument tout mon courage, qui pompait le peu de volonté que j'avais et qui me forçait maintenant à choir lamentablement sur l'arbre que je venais à peine de quitter, mes jambes manquant de force. Uliel-sama venait de parler. Mais ce n'est pas cela qui me mit dans cet état, mais plutôt ses parole :

-Mais où est-ce qu'il a pu encore se fourer? Et aussi quelle idée de chasser encore à cette heure? Ooka, tu n'es vraiment qu'un abrutis!

Je sentais mon coeur battre la chamade dans ma poitrine, mes joues devenaient brûlantes et ma respiration se faisait rapide. Une joie insondable me submergea. Je m'étonnais même en remerciant un Dieu auquel je ne croyait même pas et pourtant, je n'avait pas rêvé. Uliel-sama était venu pour moi.
Malgrès tout cela, je sentais tout de même un gros poids sur mon coeur.

-Que dois-je faire? fut l'unique pensé qui me traversa l'esprit.

-Bon restons lucide et cherchons réellement une solution maintenant.

Mes pensées allait vraiment dans tout les sens. Elles passaient par Uliel-sama, les lapins, les enfatns, Keine, la forêt, Uliel-sama, une fuite, un désir fou, Uliel-sama et encore Uliel-sama. J'étais complètement perdu, affolé, que je n'arrivais pas à structurer tout ce flux. Il me fallut une concentration monstre pour parvenir à une pseudo conclusion. Pour moi je n'avais que trois choix possibles:
-Soit je sors maintenant de la forêt, j'appostrophe Uliel-sama et je tente ma chance;
-Soit je retourne chercher mes lapins, je sors comme-ci de rien était et je vois ce qui se passe;
-Soit je repars dans la forêt me trouver un endroit où dormir d'ici demain matin.
Je dois avouer que les trois solutions me tentaient, bien qu'il y en avait une plus que les autres. Je pris quelques bouffées d'air frais pour me préparer à mon action. C'est donc l'esprit très clair que je me levais de ma cachette. Le teint rouge d'anxiété mais aussi avec une sensation de courage dans le coeur, je réfléchissais à la meilleure méthode de mise en pratique. Je faisait quelque pas vers mon but quand je me mit à parler tout seul, encore une fois :

-C'est bien beau mais... qu'est-ce que je vais lui dire si elle me parle?

Je prenais donc mes cadavres et me dirigeait vers la sortie, essayant tant bien que mal d'arrêter de rougir et de parraître le plus naturel possible. En dehors des arbres protecteurs, Uliel-sama ne mit pas très longtemps avant de me voir.

-Te voila enfin. Tu sais quelle heure il est?
-Désolé je... Je n'ai pas fait... attention, tentais-je vainement de balbutier. Et vous? Que faîtes-vous ici à cette heure?


Etrangement je la vit rougir légèrement à ma question. Ce bref changement de couleur sur sa peau délicate ne faisait que confirmer mes pensées. Je dû faire moi-même un effort de ce côté là pour ne pas rougir à mon tour, je devais absolument rester le plus naturel possible.

-J... J'avais envie de voir la lune. Elle est sublime aujourd'hui. Me répondit-elle en se tournant vers l'astre lumineux.

Ô... Uliel-sama. Vous voir ainsi de dos, la lune juste au dessus de vous diffusant une lumière chaleureuse et réconfortante, vos cheveux noirs transgressant avec cette lumière pour offrir une touche délicate, ne pouvait que me faire chavirer. Une telle vision, si parfaite, si pure, si innocente eut raison de mes peurs, mes craintes. Je n'avais plus qu'une seule envie en tête. Celle de vous serrer dans mes bras. Sentir le parfum de vos cheveux. Effleurer de mes mains votre peau si délicate, si douce.
Je savais que toutes mes idées n'étaient que suppositions et pourtant je n'en avait plus rien à faire. Dans la vie, vous avez toujours une constante dans vos choix. Il y en a vraiment deux que vous pouvez appliquer partout : celui de réfléchir avant d'agir et celui d'agir avant de réfléchir. Je n'eut même pas le temps de faire un choix que mon corps avançait tout seul. Je me dirigeais lentement vers Uliel-sama, lachant les lapins sur le sol sans ménagement.
Arrivé à son niveau, je pris ses mains dans les miennes et posait délicatement ma tête sur son épaule. Au premier contact, je sentit un sursaut de sa part. Je pensais donc "Mince j'avais mal comprit ses propos" mais à ma grande surprise, je sentit dans sa nouvelle attitude l'abscence d'une attente qui venait juste de partir. C'est alors qu'elle se colla contre moi, ramenant ses mains sur son ventre pour que mes bras l'entoure dans une etreinte amoureuse. Tournant légèrement le visage, je lui sussurais ces mots à l'oreille :

-Cela fait tellement longtemps que je rêvais de cet instant.
-Abrutis que tu fais. J'ai bien cru que tu ne te déciderais jamais.


On pouvait croire que j'étais totalement serein, calme et reposé alors que c'était complètement l'inverse. J'avais la tête en feu. Plus rouge que moi à ce moment là ce n'était pas possible. Et mon coeur qui avait décidé de faire la lambada dans ma poitrine n'aidait en rien le fait de me rendre calme. Je pense qu'Uliel-sama s'en rendit compte car elle desserra lentement mon étreinte. Se tournant alors vers moi, je pouvais constater qu'elle n'était pas dans un état meilleur que le mien. Pourtant c'est elle qui se rapprocha de moi, callant sa tête contre mon coeur, à la recherche de cette chaleur tant attendue. Enlaçant donc cette douce créature, je prenais mon courage à deux mains pour l'ultime étape.

-Je vous aime Uliel-sama.

Cinq mots, sortis distinctement malgrés toute la pression contenue en moi, furent tout simplement magique. Je sentit Uliel se coller encore plus contre moi. Nous restâmes comme cela quelques secondes puis elle leva la tête dans ma direction.

-Je t'aime.

Rapprochant son visage, elle ferma délicatement ses yeux attendant mes lèvres. Je ne la fit pas languir longtemps. L'un contre l'autre, nos lèvres encore timides, se rencontrèrent déversant dans nos corps le plaisir d'un amour enfin accomplit.

Sous la lune bienveillante, deux âmes se sont unies. Deux corps n'en faisant plus qu'un, baignés dans une lumière céleste au coeur d'une nuit d'été.


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MessageSujet: Réflexions   Les délires d'un écrivain raté Icon_minitimeVen 1 Avr - 0:06

J'ai un peu déliré tout seul sur le chat... c'est pas très exceptionnel mais comme je parle un peu de moi et que c'est pas courant... ben j'ai décidé de partager cela Razz
Donc voici l'ensemble de mon délire ^^


Spoiler:

"Je bercerais mon esprit dans les illusions d'un monde à jamais oublié attendant le jour de ta venue avec ces mots que j'attends depuis longtemps:
Je t'aime."


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MessageSujet: Les ardeurs d'un anniversaire   Les délires d'un écrivain raté Icon_minitimeMer 13 Avr - 17:43

Une grande fête avait pris place dans le manoir des deux sœurs vampires. Un grand évènement était à fêter en effet : l’anniversaire de notre ami Dondéo. Tout avait été mis en œuvre pour que ce soit parfait. Les sœurs Prismrivers accompagnées de la voix de Mystia mettaient une ambiance ludique dans l’une des plus grandes salles du manoir.
Tout le monde avait été au courant, depuis un long moment d’ailleurs et chacun avait mis un point d’honneur à participer à cette occasion. On pouvait voir Absolembum accompagné d’Alice dans un coin de la salle, plus intimidé par la jeune femme que par le monde ; Youlit à côté du roi de la fête Dondéo, qui faisait encore un concours de buverie avec Suika et Yuugi alors que Reisen faisait la moue juste derrière ; Luke à côté de sa charmante femme, Reimu, lancé dans une discussion à n’en plus finir ; Aikawa et Hina, ne se faisant pas trop remarquer comme d’habitude alors que beaucoup cherchaient à les faire danser ; Uliel et Ookamiko, tous deux sur la piste de danse, essayant de mettre une ambiance terrible ; Dextricyril se trouvant juste à côté de Remilia, les deux paisibles, regardant cette scène des plus intéressante. Sakuya quant à elle, faisait le service à l’aide de Koakuma qui avait délaissé la bibliothèque pour l’occasion et Rinnosuke qui mettait ses talents de cuisinier à l’œuvre.
La fête battait son plein alors que Sakuya s’approcha tout doucement de son mari. Ne l’ayant pas aperçut, Dondéo fut surpris d’entendre la jeune femme lui glisser ces quelques mots à l’oreille :

- Rejoins-moi cette nuit.

Il se retourna pour voir son visage mais remarqua qu’elle était déjà loin, occupée de servir d’autres convives. Il n’y fit donc pas plus attention, profitant encore de la fête en se promettant d’aller lui rendre une petite visite une fois celle-ci terminée.
Ce fut donc après de longues heures de folies, la fatigue et l’alcool faisant effet, que l’on vit la salle dégrossir. Tous étaient retourné chez eux à quelques exceptions près : Suika et Yuugi étaient effectivement dans en tel état que l’on préféra les laisser dormir à même le sol. Pas très loin, Youlit dans le même cas que les deux oni, se retrouvait par terre. Reisen ayant décidée de passer la nuit avec celui-ci s’était allongée à ses côtés.
Ayant une promesse à tenir, Dondéo se rendit à la porte de la chambre de sa jeune femme. Il toqua poliment et entendant celle-ci l’inviter à rentrer, il se glissa à l’intérieur. Pourtant, pas de Sakuya. Tout ce qu’il pouvait voir, était les vêtements habituels de la jeune femme couchaient sur son lit. Un peu gêné, mais curieux de voir ce que la jeune femme lui réservait, il attendit tranquillement dans cette pièce.
Ce que Dondéo n’avait pas vu, fut le paravent derrière lequel celle-ci se changeait. Elle sortit rapidement à la vue de son mari, une simple chemise de nuit couvrant son corps. Bien qu’ayant l’habitude de voir sa femme dans cette tenue, l’effet de l’alcool étant là, il ne put s’empêcher de rougir un peu.

-Je pense que je ne t’ai pas offert de cadeau, fit-elle tout en s’approchant de lui.

-Tu sais bien que tant que tu seras à mes côté, aucun cadeau ne pourra me satisfaire.
L’un contre l’autre, ils s’embrassèrent tendrement tout en s’enlaçant dans une étreinte amoureuse. Cherchant un peu plus de caresse, Sakuya se colla à cet homme qu’elle aimait tant. Voyant le jeu de sa femme, le grand guerrier laissa tout doucement ses mains parcourir le long du corps de la jeune femme.
Sa peau douce est fraiche ne put que réveiller l’ardeur de Dondéo et, alors qu’il continuait son jeu, chaque caresse que la femme lui rendait le faisait frémir de plaisir. S’écartant un peu pour voir son visage, l’homme lâcha quelques mots :

-Je t’aime Sakuya.

La jeune femme sourit et commença tout doucement à enlever chaque bouton de la chemise de son mari. Le torse musclé découvert, elle colla son oreille au niveau de son cœur pour entendre ses battements fous, recherchant une chaleur que seul lui pouvait lui donner.

-Reste avec moi cette nuit, soupira la jeune femme.

Entendant ces quelques mots, le jeune homme prit sa femme dans ses bras et, tout en lui déposant un baiser, s’approcha tranquillement du lit. Arrivé à sa hauteur, toujours dans des estes calme, il déposa son épouse avant de se glisser lui-même à ses côtés. L’un face à l’autre, ils échangèrent un sourire avant de s’embrasser avec fougue tout en échangeant des caresses.

Le jour venait à pointer dans cette chambre et les rayons d’un soleil neuf s’attardèrent sur ce grand lit. Glissés dans les draps, deux corps jeunes et apaisés s’enlaçaient dans un sommeil paisible.


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MessageSujet: Doutes et tourments   Les délires d'un écrivain raté Icon_minitimeMer 13 Avr - 18:50

Je suis désolé mais il fallait que je divulgue cet épisode, que certains comprennent. Même si je ne souhaite pas être aidé dans tous les cas ^^'. Je veux juste que vous sachiez ^^'. Donc pardonnez moi pour cet écrit. Il contient mon âme. Prenez le comme-ci vous vous trouviez en face de moi, comme-ci ce n'était pas des mots que vous lisiez mais mes propres dires.
Après ce petit écrit, je peux vous dire que je me sens un peu mieux. Mais je ne vous dirai qu'une chose : Cet écrit contient tellement de sentiments qui me sont propres qu'il risque de vous prendre. Aussi soyez conscient que ce que vous lisez n'est pas un simple récit mais mes propres pensées.
Un lecteur avertit en vaut deux.


Spoiler:
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MessageSujet: Mélodie du coeur   Les délires d'un écrivain raté Icon_minitimeDim 1 Mai - 22:15

Petit poème à l'attention de ma petite fleur =D

Mélodie du coeur

Citation :
Tes paroles sont des chants à mes oreilles
Tes regards, une vision du paradis.
Chaque geste que tu entreprends,
Fais battre mon coeur comme une mélodie

Car je t'aime, mon âme est tienne
Car je t'aime, mon corps est tien
Et pour toujours, laisse moi vivre à tes côtés
Pour que nos coeurs chantent ensemble cette mélodie


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MessageSujet: Les yeux verts de Sarah   Les délires d'un écrivain raté Icon_minitimeSam 7 Mai - 16:41

je tiens à préciser que "El vert des yeux d'Sarah" est une chanson tournaisienne du buverie pour inciter les gens à pas trop boire ^^' ... en fait, dans la chanson, Sarah se fait violer par un mec qui a trop bu ^^'
Cette version est une version que j'ai créée, seul le premier refrain vient de la version patoisante (que j'ai mit en français correct bien sûr ^^'). Donc si c'est trop fort pour vous, n'écoutez jamais la version originale XD

Citation :
Sarah a les yeux verts, les yeux verts Sarah elle a
Et bien qu'elle soit tombée par terre, les yeux verts Sarah elle a

De ce vert je voulais m'approcher, mais Sarah m'a remarqué
Voyant le vert coulé, de son corps je m'emparais
Ne pleure pas, ne pleure pas
Ce jade doit se conserver, car le vert est sacré
Rougissant a cette pensée, elle ne put que m'embrasser

Sarah a les yeux verts, les yeux verts Sarah elle a
Et bien qu'elle soit tombée sur moi, les yeux verts Sarah elle a

Ses yeux vert m'ont alors fixé, 'J'ai envie de te manger'
Mais mon sang a bien tourné, et c'est à l'allure pressée
Que je la raccompagnais, que je la raccompagnais
La porte a à peine claqué, que sur moi Sarah s'est jeté
Rapidement deshabillés, sur le lit on s'est glissé

Sarah a les yeux verts, les yeux verts Sarah elle a
Et bien qu'elle se tienne sur moi, les yeux verts Sarah elle a

Le péché originel, ne peut que satisfaire la chair
Un coup les jambes en l'air, et un coup c'est moi par terre
Elle tremblait, elle tremblait
Et enfin elle s'écroulait, dans ma bras tout préparé
Depuis cette nuit enflamée, on ne se sépare jamais

Sarah a les yeux verts, et je ne m'y habituerai
Car c'est par tant de beauté, qu'à jamais je l'aimerai
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MessageSujet: La bataille du café   Les délires d'un écrivain raté Icon_minitimeDim 8 Mai - 22:03

Encore un délire ... et oui ^^ qui est partit de cette phrase :
Citation :
Je vois bien ta mère, une poelle à la main, le tablier et le foulard sur sa tête genre ancienne matronne assise sur une chaise face à la machne à café l'air de dire "Je t'attend ".

Voici donc
La bataille du café


Et une bataille épique s'engagea alors entre Uliel et sa mère .

U: Le café, c'est ma source d'inspiration. Je vais en boire.

M: Tu peux toujours rêver ma fille. Tant que je serai là tu ne touchera pas à une seule goute de café.

Les deux femmes se regardent intensement. La mère, une poele à la main s'avance d'un pas. Uliel, main derrière le dos s'avance aussi.

Technique secrète de la maisoné "Poele à frire"

Technique secrète de l'étudiante "Syllabus"

Uliel jette alors son syllabus de civilisation qu'elle tenait dans son dos sur sa mère qui s'avançait. Le recevant en plein figure, elle tomba au sol, groguis par le coup. Une voix off se fit entendre au loin
"Finish her"

Se postant devant le corps gisant de sa mère, elle se prépara à sa technique secrète.

Last spell "Recitation"

En l'espace de quelques secondes, Uliel récita l'entièreté de son bouquin de grammaire, plongeant alors sa mère dans un coma semi-avancé. Ayant acces à la machine, elle se servit un café et remonta dans sa chambre alors qu'une mélodie de victoire se fit entendre en bruit de fond.
Et c'est comme ça qu'Uliel prouva la supériorité de l'esprit sur la matière.
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MessageSujet: Egoïsme   Les délires d'un écrivain raté Icon_minitimeVen 27 Mai - 19:16

J’ai vécu beaucoup de belles choses. Ma vie, je ne peux pas m’en plaindre mais il reste une chose que je n’ai jamais osé faire.
A la rentré du lycée, je suis tombée sous le charme de Justine. Ses yeux espiègles derrière ses lunettes ont tout de suite brisés les barrières jusqu’à mon cœur et je n’ai plus jamais su regarder quelqu’un d’autre depuis. Pourtant, je n’ai jamais réussis à lui déclarer ma flamme, la timidité et la crainte de son refus m’en empêchaient à chaque fois. Mais aujourd’hui, il y eu un déclic. Une chose qui m’a fait dire « Tu dois lui avouer aujourd’hui ». Et c’est donc ce que j’ai fait.
A la sortie des cours, j’ai attendu sa venue. Aussi rouge que je pouvais être, je n’ai pas bougé d’un poil quand je l’ai vu s’approcher de l’entré avec un groupe d’ami. Toujours fébrile, un peu tremblante, je me suis approchée d’eux.
« Justine, je peux te parler en privé juste deux secondes » bafouillais-je rapidement.
« Oui il n’y a pas de problème »
Elle m’avait répondu avec son sourire habituel, celui qui me redonne chaud au cœur tellement il est sincère. C’est donc un peu plus loin que je lui dis d’une traite :
« Ça fait un petit bout de temps que je voulais te le dire mais … je t’aime Justine. »
Elle resta sans voix, un peu étonnée. Je ne lui laissais pas le temps de dire quelque chose, la peur de ne plus savoir trouver mes mots après me força à enchainer rapidement
« Veux-tu sortir avec moi ? »
Un silence. Très très long. Puis, l’arrivé d’une couleur. Le rouge sur ses joues. Elle rougissait !
« Euh… je t’aime aussi Alex et … oui… »
Toutes les deux un peu gênées mais énormément heureuses, nous ne trouvions plus nos mots.
« Donc … à demain » dit-elle un peu hésitante.
« Ah … oui »
Et c’est comme cela que nous nous éloignions. Elle pleine d’espoir à la suite de notre relation et moi…

Je n’avais pas pu lui dire. J’avais pleuré toute la soirée, juste après notre séparation.
« Je suis trop égoïste. »
Elle m’attendra peut-être, un jour ou deux avant d’apprendre la nouvelle. Demain, je ne saurais pas te revoir. Demain, la maladie m’emportera. Mais ça, je ne lui ai pas dit…


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MessageSujet: Evènement cocasse   Les délires d'un écrivain raté Icon_minitimeSam 28 Mai - 11:00

Tout le groupe touhou mania a réussis à se retrouver à la JE cette année. Après plusieurs tentatives, c'est vraiment la première où tout les membres ont réussis à enfin se rejoindre. Luke qui arrive avec ses deux frères spirituels Donf et Youlit, Abso en discution avec Aika, Dextri qui cherche à attirer l'attention en faisant le fou un peu partout, Uliel et Ooka main dans la main, Jeal qui regarde ce couple d'un oeil vert. Oui, ils étaient tous réunis.
Et c'est donc fort de cette journée qu'ils commencèrent à vagabonder dans le festival.
"Et regardez. Un karaoke, ça vous tente?" avait lancé Luke.
tout le monde acquissa, même les plus réticents, et se dirigèrent face au stand.
"Excusez moi, où se trouve le répertoire des chansons?" demanda Ooka à un homme.
"Il se trouve là-bas."
"Très bien, merci"
Ils commencèrent alors à regarder s'ils n'appercevaient pas un bon remix du jeu qui les avaient tous réunis et ... surprise, il y en avait une floppé.
"Ouais, ils ont Hana no iro wa ~ flowering light" s'écria Donf
"Ben ils ont aussi Haru no yoru ni saku Gensou ... ça c'est assez étonnant"
"Attendez, montrez voir ... ils ont U.N. Owen Was Her ... bordel je la veux"
A leur grande surprise, il y avait un bon nombre de remix touhou.
"Allons lui demander... Excusez moi, encore une fois" redemanda Ooka.
"Oui?"
"On a remarqué que vous aviez un bon nombre de remix touhou. Bon, ça fait plaisir mais certaines sont pas vraiment connues et c'est assez plaisant de voir que vous les avez mises."
"Aaaah ça. En fait je suis moi-même fan de touhou et j'ai beaucoup insisté pour qu'ils en mettent. Celles que vous voyez dans le répertoire sont des karaoke fait par d'autres fans. Ca nous a évité de le faire nous même."
Un peu étonné, ils se regardèrent tous. Uliel enchaina cependant plus vite que les autres
"Des fans? vous les avez trouvé sur Youtube?"
"Oui, sur la chaine Gensokyo de youtube. Le groupe TouhouManiaFR si je me souviens bien. Des braves gens celon moi. Si j'avais l'occasion de les voir aujourd'hui, je les remercierai de ce qu'ils font parce qu'ils sont tous géniaux avec leurs écrits, leur traductions doujins, vidéos"
Tous les membres de ce groupe se regardèrent et ne purent résister à rire aux éclats.

Comme quoi, une amitier très profonde et les créations d'un groupe soudé peuvent conduire à des évènements cocasses.

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MessageSujet: Réflexions diverses   Les délires d'un écrivain raté Icon_minitimeMer 1 Juin - 12:19

Pour une fois, je vous donne une réponse avec plusieurs délires passé.

Grande réflexion philosophique :

Citation :
Un belge sans ses frites, ne serait-ce pas comme un français sans sa littérature, Sartre sans sa pipe?

L'amour :

Citation :
"Pourquoi elle plus qu'une autre?" *Je ne pus répondre à cette question. Après tout,c'est vrai : pourquoi elle? Si même moi ne le savais pas, qui pourrait le savoir. Pourtant, c'était très clair dans ma tête et je ne pus que répondre* "Parce que c'est elle et pas une autre que je l'aime"

Ce que je vaux :

Citation :
Je sais ce que je vaux et à la face du monde, je ne suis pas grand chose par rapport à tous ces Grands qui le mènent d'une main de fer. Mais j'ai une chose qui vaut toute leur puissance. Car j'existe dans le coeur de quelqu'un.

La fausse modestie :

Citation :
J’aimerais juste souligner que ce paragraphe né d’une simple remarque formulé en cours et qui m’était adressée. En d’autres termes je remercie Florence de m’avoir inspiré le premier chapitre de mon recueil.

Pour parler de fausse modestie, il faut d’abord savoir ce qu’est la modestie. Donc la modestie c’est la modération et la discrétion dans l'appréciation de soi-même. En d’autre terme le simple fait de dénigrer un aspect de sa personnalité qui apparait comme de qualité. Mais c’est aussi le principe de ne pas avoir envie de s’approprier un mérite qui nous revient ainsi que les compliments dont on peut faire l’objet. Dès lors, l’homme modeste est une personne qui n’aime pas être flattée ou tout du moins qui ne désire pas l’être.

Pourtant la modestie n’existe pas en tant que telle, alors parler de fausse modestie revient à ne parler de rien… je m’explique.

Prenons l’exemple d’un homme qui vient juste de se faire féliciter pour une raison quelconque. Comme cet homme est modeste, il essaie sans doute de baisser la valeur des compliments qui lui sont destinées par des « mais je ne suis pas le seul dans l’histoire » ou « tu aurais été dans mon cas tu aurais certainement fait mieux » et j’en passe. Or il existe une autre variante de la société qui s’appelle la politesse. Toute personne un tant soit peu poli ne répond pas « oui tu as raison tu n’as pas de mérite en fait » mais réitère ses compliments, quitte à les embellir encore un peu plus de manière à ce qu’ils portent plus.

Dès lors, comme le souligne très bien Jacques Dutronc : « La modestie est l'art de se faire louer une seconde fois. » Comment parler de fausse modestie quand la modestie elle-même n’existe pas ? Ou plutôt comment séparer la modestie de la fausse modestie quand la seconde n’est qu’un autre mot désignant la première ?

Petite dissertation quand j'étais en 5ième secondaire (ce qui équivaut en France à la première je crois ... l'anné juste avant le BAC --' ... pas facile de se mettre à jour --' ) :

Citation :
Sujet : « Ne sais-tu pas que la source de toutes les misères de l'homme, ce n'est pas la mort, mais la crainte de la mort ?» Citation d’Epictète


Au Moyen-âge, la vie était très dure. Entre la misère, les famines, les guerres, la peste,… il y avait très peu de choses joyeuses. On le retrouve d’ailleurs dans la littérature qui recèle très souvent l’inverse de la situation réelle et permet donc au lecteur de “changer” de monde, de se rassurer. En effet, les sujets de littérature parlaient souvent d’amour ou de hauts faits de chevalerie.

Dans un monde aussi cruel, les gens avaient tous les jours la peur de mourir. Or, je pense qu’ils avaient juste cette peur la qui les tenait. Il avait peur de mourir mais pas peur de la mort. On peut penser que ce sont deux choses semblables et pourtant, mourir, c’est le fait et la mort, c’est l’état. Un peu comme boire et la boisson.

Ces personnes n’avaient pas peur de la mort. On pourrait se demander pourquoi. La réponse est simple : la religion. Au Moyen-âge, la religion tient une place prépondérante dans les mœurs des populations. Et pour eux c’était très simple : ceux qui font le bien, s’en vont au paradis, ceux qui font le mal, en enfer. Dès lors on voit apparaître une cause de la peur de mourir. Les hommes, ne sachant pas comment Dieu les jugerait, ne savaient pas s’ils allaient aller au paradis ou en enfer.

Autre petit exemple marquant : les vikings. Dans leurs croyances, tout homme mort sur le champ de bataille était amené dans la demeure d’Odin par les Valkyries. Cet endroit est semblable au paradis chrétien. Encore plus marquant, s’ils mourraient en mer, c’est un autre de leurs dieux qui les accueillait. On comprend maintenant pourquoi les vikings étaient une race barbare qui allait le plus souvent possible en guerre.

Par la croyance, l’homme a, de tout temps, su se rassurer sur la mort. Mais maintenant les rôles s’inversent. La foi diminue pour laisser place à la science. Celle-ci, quand à elle, n’explique que se qu’elle peut démontrer. Or la mort n’ai pas connu.

“La mort. Cela ne s'apprend pas. On ne peut apprendre que ce qu'on peut répéter. La mort est un fait unique et un fait brut.” (Citation de Jean-François Revel dans « un Entretien avec Olivier Todd ») Voici une citation qui confirme ce que j’ai cité plus haut.

Alors comment l’homme moderne fait pour se rassurer ? Pour répondre à cette question, je vais utiliser quelque réflexion que je me suis tenu dans le cas où je me suis, moi aussi, poser des questions sur ce qu’il y avait après.

Dans le premier des cas, pour les plus fainéants d’entre nous, il suffit de se tourner vers une religion quelconque et d’accepter les principes de cette religion. Pour citer quelques exemples, il y a : la réincarnation pour les chrétiens ; la séparation du corps et de l’esprit pour les spirites ; le cercle infini pour les hindouistes ;…

Arrêtons-nous pour nous poser une petite question. Dans le cas de la réincarnation, on peut se demander si on l’a déjà subit et on se heurte à un mur car on n’arrive pas à se souvenir de faits, peut-être vécu, avant de vivre la vie que nous vivons en ce moment. Alors voici ma petite question : Est-il préférable de se réincarner et de ne se souvenir de rien ou de mourir définitivement et de conserver la mémoire de sa vie ?

Nous allons encore nous attarder sur un point spécifique de chaque religion : la séparation entre le corps et l’âme. Déjà que nous ne savons rien sur l’existence ou la non-existence de l’âme, alors comment être sur qu’elle peut se séparer du corps ? C’est vrai, d’ailleurs, à quel niveau pourrait-elle se situer ? Les hommes sont-ils les seuls à posséder une âme ? Sur toute ces questions, aucunes ne peut être résolues maintenant mais il existe un moyen de connaître une réponse sur et certaine grâce à la science.

Ce moyen n’existe pas encore mais, s’il arrive un jour, il permettra de savoir si l’âme existe ou pas ou tout du moins apporter une première approche à la réponse. Ce moyen n’est autre que la téléportations. En effet, bien qu’encore au stade expérimental, il est envisageable de transformer de la matière en énergie (par la relation d’Albert Einstein E=MC²), de la transformer en courant électrique, de la déplacer et enfin de la reconstituer. D’après une source internet (l’arbre des possibles), on a déjà réussi à téléporter un atome.

Vous allez me dire : En quoi cela permettrai de savoir si l’âme existe ou pas ? Pour une bête chose c’est que ce procédé ne marche qu’avec de la matière et que d’après les écrit, l’âme n’est pas une chose matérielle. Ce qui fait que si un homme se fait téléporter il y a deux cas envisageable : soit il est comme avant, rien ne change et donc l’âme n’existe pas ou, tout du moins, peut être matérielle ; soit il revient complètement amorphe, un homme légume et alors là l’âme, état de non matière, existe car elle ne peut pas être téléporté en même temps que son réceptacle. Cet exemple ne marche que si la téléportation est à 100% fiable.

Après cette réflexion, une autre idée m’est venue et c’est pour moi la meilleure. Une réponse en rapport avec la première règle de la chimie : rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme. Le corps, ensemble de molécules, en fin de parcourt dégénère mais les molécules, même si elle change de structure, restent. On peut voir cela selon trois formes. Soit une réincarnation suite au remodelage de ses molécules et là on retombe encore sur la question de tout à l’heure. Soit une influence comme si chaque molécule avait une part de savoir, d’expériences qu’elle nous transmettrait après avoir été ingéré. Ça reviendrai à dire que nous ne sommes pas maitre de nos pensées ni de nos actes. Ou alors une immortalité de corps et non d’existence.

Bien qu’aucune de ces réponses ne soient sures, et qu’il en existe bien d’autre, je pense que chaque homme doit trouver une manière, une réponse pour se rassurer de la mort et d’accepter sereinement de mourir le jour venu. Si l’on a peur de la mort, on a peur de mourir et donc nous devenons lâches par rapport à la vie car, après tout, ce n’est qu’un passage. Comme le dit Jules Renard : « Pourquoi serait-il plus difficile de mourir, c'est-à-dire de passer de la vie à la mort, que de naître, c'est-à-dire de passer de la mort à la vie ? »

Potins de chambre (oui, j'avais déjà des délires depuis longtemps, ça doit faire deux ans que ces réflexions me sont venues ... enfin bref, je les remets ici ^^ ... et oui, vous pourrez remarquer que, même si mon orthographe n'est pas fameuse, elle s'est améliorée depuis le temps ^^') :

Citation :
Petite introduction:

Voila un article consacré à toute les réflexions bizarres qui me passent par la tête de temps à autre^^ bon amusement

Quel attribut ne peut se mettre qu'au féminin?

Voici une petite question bien conne mais il fallait quand même y penser^^. Pour vous remettre en contexte, je me regardais dans une glace et je me trouvais gros… (C’est que je dois l’être certainement^^’) Et bien sur je me suis dit comme un con : « Tient on dirait que je suis enceinte »…maintenant voila la partie réflexion… j’ai réfléchit sur le mot enceinte pour faire remarqué que même si on l’utilise pour un homme, le mot resté féminin. Assez stupide d’ailleurs parce que dans le cas d’un homme on l’utilise comme métaphore mais remarquait que si on accordé le mot deviendrait « enceint » se qui ne s’est jamais entendu…

La joie de pouvoir mettre au monde un enfant doit-elle être réduite à cause des inconvénients?

Grand débat philosophique ici et qui doit faire réagir les femmes^^. D’ailleurs elles se plaignent souvent non ? « Oui on a nos règles s’est pas marrant. Quand on est enceintes on se sent mal les premiers jours. Mettre au monde ça fait horriblement mal. Un homme peut se casser quand sa femme est enceinte mais pas elle… » Mais arrêtez deux secondes avec vos inconvénients. Vous ne savez pas voir le côté positif de la chose ? Vous pouvez, pendant neufs mois, porter le fruit d’un amour, porter votre enfant et, à terme, donner la vie. Ça ne vous suffit pas ? Ne regardez pas les côtés négatifs. Si une femme veut porter un enfant, elle a le droit alors qu’un homme n’aura jamais la chance de pouvoir vivre cette expérience…
Le débat reste ouvert^^

La peur des dissertations au placard!!

Vous allez encore me traiter d’abrutit (à croire que c’est ce que je suis en fin de compte :p) mais une idée mes venus pendant mes réflexions. Il existe tellement de citation que nous pouvons décortiquer, pourquoi ne pas faire une dissertation de temps à autre et la mettre sur le net pour voir ce qu’en pensent les autres ? Ça permettrait déjà de un vous exprimez clairement sur un sujet que vous pouvez choisir (contrairement aux dissertations imposées à l’école) ; de deux, améliorer votre écriture et votre formulation ; et de trois, améliorer votre esprit critique et vous permettre de vous questionner et requestionner sur certain sujet.
Voila encore l’une des idées bizarres qui me passent par la tête :p.
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MessageSujet: Un rêve ... étrange   Les délires d'un écrivain raté Icon_minitimeDim 5 Juin - 20:36

Comme quoi mon cerveau est vraiment dérangé ... même durant mon sommeil, j'ai des délires complètement à l'ouest --' et pour vous le montrer, je vais vous racontez celui que j'ai fait hier soir.
Bon déjà quand tu te retrouves dans une cellule avec 2 autres gars et une fille, tu te dis "Mouais, ça à l'air interessant" et ... non la manière explicative n'est pas très jolie alors je vais le faire de manière romancée.
Donc, j'étais dans une pièce. Trois autres personnes, deux hommes et une femme, se trouvaient avec moi. La pièce, pas très grande était colorée en orange tendre et avait à peu près, la forme d'un demi cercle. Le mur courbe donné sur une porte qui, étrangement je le savais sans l'avoir testé, était fermé (ça, c'est la logique des rêves ... tu n'as pas testé, quitte à la limite, dans ce cas là, tu ne sais pas si la porte était fermée ou ouverte mais, LÀ, tu sais qu'elle est fermée ... bref). La courbe finissait sur deux mur droit et perpendiculaire à un autre mur qui formait le fond de la pièce. De mémoire, elle devait faire un petit 10 mètres carré (pour être sûr que tout le monde à la forme de la pièce, voici un schémat (=| ... mouais, il est pas réussi mais c'est l'idée. Les murs latéraux devait faire à peine un mètre de long et le mur du fond, qui faisait face à la porte fermé, devait approché les 5, 6 mètres. comme ça tout le monde est ok o/). Sur les murs latéraux, on pouvait y trouvait deux choses. Sur celui de droite si on faisait face à la portre, il y avait une autre porte qui menait vers une pièce qui devait être un genre de douche communautaire (vous voyez, le genre qu'on voit dans les salles de sport, pièce carré avec des douches espacées n'ayant pas de cloison). La pièce était dans les couleurs bleu, blanc et donnait l'impression d'être dans le ciel. Sur l'autre mur, on pouvait voir un espèce d'interrupteur dont j'étais le seul l'ayant déjà utilisé et donc de savoir ce qu'il faisait. Et au centre de la pièce ... enfin au centre. Disons plutôt sur le bord du mur du fond, il y avait une espèce de fontaine qui se déversait dans un bassin courbe ayant la même forme que le mur d'en face. (Donc autre schémat, sans les murs transversaux ... ( (| ... voila. En sachant que le bassin était plus petit que la pièce donc on pouvait atteindre la porte et l'interrupteur sur les côtés du bassin) Bien sûr, il était rempli d'eau.
Après avoir fait un tour dans la "salle de bain", nous nous approchions du bassin et remarquions quelque chose d'étrange. Bien que la fontaine ne marchait pas, l'eau faisait d'étrange vaguellette. Durant notre observation, la femme dont je ne connaissait pas le nom alla utiliser l'interrupteur et là ... Tout se refit mais à l'envers. Les deux hommes commencèrent à reparler à l'envers, faire marche arrière direction la salle de bain. La femme suivit le mouvement mais me voyait et remarquait que je ne bougeais pas. Elle était consciente de ce qu'il se passait alors que les deux hommes avaient l'air autre part. Comme s'il subissait l'action.
"Cette interrupteur est un réverseur temporel," lui disais-je. "Il permet de reproduire, à l'inverse, ce qu'il vient de se passer et, ceci, sans exception de personnes donc tous subissent la réversion sauf ceux qui l'ont déjà utilisé et ..."
Je lui pris le bras et l'attirait vers moi. Ayant perdu le méchanisme, elle pouvait bouger normallement.
"Ceux qui sont en dehors de leur ligne de temps," finis-je par dire. (alors déjà ... arriver à inventer un truc aussi compliqué, et donner des explications dans son rêve ... sincèrement, je sais pas où j'ai été cherché ça. En plus, un "réverseur temporel" ... un nom à ralonge bien scientifique ... logique quoi)
Les effets de l'interupteur se terminèrent dès qu'elle le réutilisa et les deux jeunes hommes revinrent dans la salle, encore pour examiner l'eau. Et tout d'un coup, elle prit la forme d'une main qui attrapa celle d'un des observateurs. Elle disparu très vite cependant mais cela nous choqua. L'eau devenait de plus en plus agitée et j'eu une idée ... pourquoi ne pas l'agiter plus fort nous même. Je tapais donc de mes deux mains sur la surface aqueuse qui prit la forme d'un golem devant nous.
"Qu'êtes-vous?" demandais-je sans étonnement. (Le gars arrive à trouver quoi faire en moins de deux seconde, un golem apparait et il est pas étonné ... trop fort le mec genre comme si c'était lui qui pensait ce qui se passait là ... mouais j'ai rien dit ^^')
"Je suis ici pour gouverner le monde." dit-il (EEEEHHHHH, c'est pas la réponse à la question que je t'ai posé oO. En plus, "gouverner le monde" ... gros méchant cliché --')
Et hop, ellipse ou je ne sais quoi mais je me retrouve sur la grand-place de Tournai, ma ville natale (bon vais pas détailler la grand-place parce que j'en ai pour longtemps sinon --'. Allez sur google, tapez Tournai et allez sur le site de la ville. Vous devriez trouver des photos de la grand-place si ça vous interesse à comprendre mieux ce que je raconte ^^)
Donc je me retrouve sur la grand-place, pas très loin du beffroi. Tout le monde est en panique et fuit un peu partout. Et puis, je sens un truc. Je le vois pas, je sens qu'il est là (remarque, je l'ai pas vu mais ... oh, comme par hazard, on sait de qui je parles ^^). Le golem d'eau n'est pas loin mais ... en plus grand. Toujours sans le voir, je cours vers le beffroi, descend une rue juste à côté et je reste figé. Juste en face de moi, ce trouve mon ancienne prof de math de 6ième et 5ième (je translate pour votre système scolaire ^^ mais logiquement, c'est notre première et deuxième secondaire ^^).
"Madame Mahieux!!!" Criais-je craintif tout en courant vers elle.
Etonnée, elle se tourne vers moi et lève la tête au ciel. Je fis le même mouvement et vis le golem juste à dix mètres de là. D'une taille approchant les 25 mètres, il tenait une maison dans ses mains, levées au ciel. J'eu le temps de prendre ma prof dans mes bras et l'écarter que le pied géant frappa l'emplacement de notre ancienne position. Je la mis alors en sécurité. Toute étonnée, elle ne bougea pas quand je lui dis :
"Restez là et ne bougez sous aucuns prétextes. Je vais m'en occuper." (irronique : ouah ... ça, c'est rare de voir le gars qui rêve être le héros de son rêve --') "Je vais vous montrer que je suis devenu un très bon mathématicien" ( ... WHATT oO ... le gars va combattre un golem de je sais pas combien de mètres et il dit "regardez comment je suis un bon mathématicien" ... mais il va chercher ça où lui ... tu vas le combattre à coup de compas et d'équations différentielles ou quoi? oO n'importe quoi)
Je parti rapidement alors que ma prof me cria une dernière fois :
"Et surtout n'oublie pas de faire tes calculs" ( ... --' ... --" ... ça doit être mes cours qui me rongent la tête ... je vais pas chercher plus loin --")
Donc je cours en direction du golem qui, bien sûr, est lent (ben oui, sinon tu pourrais pas le rattraper) et je mets mes mains l'une contre l'autre pour me préparer à une ataque. (pour ceux qui veulent savoir comment je me préparais ... alors, dans Fullmetal Alchimist ... cherchez pas à comprendre --' ... donc dans FMA, Edward met ses mains l'une contre l'autre pour charger son alchimie ... ben c'est à peu près la même chose sauf que vous rajoutez un petit mouvement de frottement genre ... genre les électrodes qu'on chargent en clinique pour ranimer quelqu'un ... ouais, en fait, c'est une petite farce que je fais de temps à autre ^^' ... je me pose derrière quelqu'un, je fais le mouvement d'écris et je dis "300 volts, dégagez la table ... PPPPPOOOOUUUUFFF" en poussant rapidement sur les clavicule de celui qui est devant moi ... faudrai que je vous montre pour que vous compreniez ^^') Donc, arrivé sur le golem, je posais mes mains sur l'une de ses jambes et ... genre une décharge d'énergie, elle vibra très fort, faisant basculer le golem en avant qui s'écrasa lamentablement, lachant sa maison (ouais, il l'avait toujours ^^' ... non, c'est pas une tortue --').
Donc, le golem se releva et ne faisait plus que 7 mètres de haut mais n'avait plus de jambes ... ou alors il était à genoux. (logique aussi ça --' passer de 25 à 7 juste en tombant --') Il envoya sa main vers moi pour me donner un coup de paume qui faisait un peu plus de ma taille. J'eu juste le temps de recharger une autre attaque et poser mes mains sur sa paume au moment de l'impact. Elle vibra comme pour sa jambe mais resta en place. Par le choc, je valsais sur 20 mètres environ sans pour autant me retrouver à terre. Et là, je vis la femme de la salle qui ... ressemblait à Reisen ( ... --' ... --" ... *va gueuler sur son cerveau* Non mais t'as pas vu ce que tu imagine là ... Reisen, on aura tout vu --')
"Tu es là, ok. Tu as un pistolet laser?" demandais-je rapidement.
"Non, tu le vois bien."
Elle brandissait un GSM qu'elle tenait comme un pistolet de ses deux mains. ( STTTTOOOOOPPPP LLLLAAAAA. Un pistolet laser ... bon, on peut encore dire ok mais c'est quand même Reisen donc je comprend pas ... en plus, golem et SC, on est très loin ... mais brandir un GSM comme une arme ... en sachant qu'il ne sert à rien ... je suis con ou quoi?) Voyant qu'on avait pas d'autre choix, on décida de l'attaquer chacun d'un côté avec notre puissance qu'on canâlisait à l'aide de nos mains. Elle partit pour prendre son flanc droit et moi je pris le gauche. On évitait les coups de paume tant bien que mal, relachant notre puissance dans ses bras de temps à autre et puis ...
Frappé par un de ses coups, ayant refait la même technique que tout à l'heure, à savoir de donner un coup de puissance en même temps que l'impact, je sautait sur sa main et redonnait un coup de puissance sur le dessus pour me propulser vers son visage. Je rechargeait alors mon énergie pour la relachait directement dans son cou. Celui-ci éclata, le corps disparut et la tête, encore intacte, toucha le sol en même temps que moi. Et ... fin

(... promis, je prends pas de drôgues --')
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MessageSujet: Une bouteille à la mer   Les délires d'un écrivain raté Icon_minitimeSam 18 Juin - 20:38

Une bouteille lancé à la mer contenant un message. Sur un papier que l'érosion avait pris pour cible, on pouvait y lire ces quelques mots:
"Je suis désespéré ... J'ai l'impression d'avoir fait quelque chose sans savoir quoi et cette simple idée m'oppresse chaque jour. Rien n'est plus pareil depuis ce jour où elle m'est revenue. Je la voyais pourtant éreinté par l'effort et la laissais donc aller dormir tranquillement ... mais hélas, depuis ce jour, quelque chose semble avoir changer. Je n'ose pas trop lui en parler de peur d'aggraver la chose mais je veux juste savoir pourquoi?
vant-hier, pourtant, je la voyais plus joyeuse. Il me semblait que mes suspitions n'étaient qu'une illusion d'un cerveau malade. Pourtant, je n'ai pas osé m'avancé vers elle. Je suis sans doutes lâche mais j'ai préféré attendre une chose qui jamais n'est arrivée. Du coup, on en est revenu au point de départ.
C'est donc pour cette raison que j'envoie cette bouteille. Plus dans l'envie de ne pas garder cela pour moi que par envi d'aide. Peut-être que les choses s'arrangeront du coup. Le temps nous le dira.
Merci d'avoir lu ces quelques lignes. Vous avez enlevé un petit poid du coeur d'un homme et je vous en remercie.
J. Lafayette"
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